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ANRB - VAKB

À la une

28/08/2025

La journée de la Transmission 5/10/2025

ATTENTION: Clôture des inscriptions le 3 octobre à 9 hr.  Inscrivez-vous vite!!! Dans un monde en constante évolution, où les repères traditionnels se brouillent parfois, la transmission familiale demeure un pilier fondamental de la stabilité, de la continuité et de l'identité. C’est à cette richesse silencieuse que s’intéresse La journée de la Transmission, fruit d’une collaboration entre l’Association de la Noblesse du Royaume de Belgique (ANRB) et la Fédération Royale des Associations de Familles (FRAF). Au cœur de ce rendez-vous, quatre grandes thématiques émergent pour explorer les multiples visages de ce qui se transmet dans les familles, d’hier à demain.1. Les valeurs : un héritage immatériel et vivantAvant même les biens matériels, ce sont souvent les valeurs qui constituent le socle de l’héritage familial. Éducation, sens du devoir, responsabilité, ouverture aux autres, transmission de la foi ou d’engagements citoyens ; ces principes se forgent dans l’intimité du foyer et se perpétuent au fil des générations.Il ne s’agit pas uniquement de préserver des traditions, mais bien de cultiver une identité familiale partagée. Les récits de vie, les rituels transmis, les règles implicites qui régissent les relations... tous ces éléments façonnent la manière dont chaque membre s’inscrit dans une lignée, en dialogue permanent avec ses aïeux et ses descendants.2. Archives et mémoire : garder trace pour mieux transmettreLes familles qui prennent soin de leurs archives nourrissent leur mémoire et affirment leur présence dans le temps long. Correspondances anciennes, photographies usées, contrats de mariage, lettres patentes, enregistrements oraux ou encore films de famille constituent un trésor parfois insoupçonné.Aujourd’hui, de nombreux outils contemporains viennent enrichir cette mémoire : biographies familiales, podcasts familiaux, documentaires, livres-souvenirs... Ces initiatives permettent de sauvegarder l’histoire d’une famille ou de l’un de ses membres, et de les transmettre de façon vivante. Car se souvenir, ce n’est pas figer le passé : c’est offrir aux générations futures la possibilité de mieux comprendre d’où elles viennent pour mieux choisir où elles vont.3. Planification successorale et médiation : anticiper pour apaiserSi la transmission matérielle peut être source de liens, elle peut aussi, mal préparée, générer tensions ou conflits. C’est pourquoi la planification successorale prend une importance croissante. En s’entourant de professionnels compétents, les familles peuvent organiser le partage des biens mobiliers ou immobiliers, anticiper les enjeux fiscaux, mettre en place un mandat de protection extrajudiciaire, ou encore planifier la transmission d’une entreprise familiale.Au-delà des aspects juridiques, il est essentiel de laisser la place au dialogue familial, parfois facilité par des médiateurs. Une transmission réussie est celle qui a été préparée, réfléchie, et surtout discutée : elle prend en compte les souhaits du donateur, mais aussi les réalités et attentes des héritiers.4. Patrimoines culturels et matériels : conserver et faire vivreLes demeures historiques, les terres familiales, les portraits anciens, les objets d’art, les bibliothèques ou même certain type d’entreprises constituent autant de patrimoines tangibles, témoins d’une histoire singulière. Leur conservation et leur transmission exigent une vigilance constante : entre restaurations nécessaires, coûts d’entretien et adaptations aux normes actuelles, les défis sont nombreux.Ces biens racontent pourtant bien plus qu’une potentielle valeur marchande. Ils incarnent une mémoire vivante, un lien entre générations et une responsabilité collective. Préserver un tableau de famille ou gérer un domaine agricole transmis depuis des siècles, c’est perpétuer un dialogue entre passé et avenir, tout simplement.Un rendez-vous pour penser la transmission dans toutes ses dimensionsLa journée de la Transmission, qui se déroulera dans les salons de l’ANRB le 5 octobre prochain, souhaite offrir un espace de rencontre, de réflexion et de solutions concrètes. Il rassemblera experts, juristes, notaires, médiateurs, historiens des familles, archivistes, artisans de la mémoire, antiquaires, psychogénéalogistes, passionnés de patrimoine et représentants de nos associations « sœurs » (Association des Demeures Historiques et Jardins, OGHB, etc.), tous unis par une même ambition : aider les familles à préserver ce qui compte, transmettre ce qui dure.Dans un monde parfois trop pressé, où tout semble devoir être réinventé sans cesse, prendre le temps de réfléchir à la transmission familiale, c’est faire œuvre de sagesse. C’est reconnaître que certaines richesses ne s’évaluent pas en euros ou en mètres carrés, mais en souvenirs, en valeurs, en liens.Un catalogue rassemblant un maximum de coordonnées d’experts, d’amateurs chevronnés et d’autres professionnels sera conçu afin de constituer une véritable « bible » des intervenants de la transmission.Consulter le programme : https://bit.ly/programme-transmissionS'inscrire : https://membernet.anrb-vakb.be/fr/tous-evenements/journee-transmission/Nous remercions le comte Pierre-Alexandre de Lannoy pour la rédaction de cet article.

Actualités

02/10/2025

Royal Condroz Culturel asbl 50 ans d’une aventure culturelle, humaine et solidaire

Déjà bien occupée par ses fonctions de bourgmestre de Barvaux-Condroz, ma mère, la comtesse Ferdy d’Aspremont Lynden – femme dynamique et entreprenante – fonde en septembre 1974, le Condroz Culturel asbl.Cet esprit d’entreprise et enthousiaste, le tenait-elle de sa mère, issue d’une lignée d’industriels américains ?Selon ses statuts, l’association a pour mission la promotion et la valorisation de toute forme artistique, ainsi que le soutien financier à des œuvres caritatives, philanthropiques et à des associations culturelles poursuivant des objectifs similaires. Pour ce faire, elle organise des activités variées telles que visites de musées, excursions, voyages … L’idée était – et reste – qu’on peut faire du beau en faisant du bien !Durant les années septante, l’association proposait des pièces de théâtre dans les propriétés privées de la région. Du haut de mes 10 ans, j’accompagnais souvent ma mère et garde un souvenir émerveillé de ces soirées de spectacles où les comédiens jouaient, entre autres, dans la cour du château d’Annevoie, Barvaux ou Ry ! De même, je participais à la préparation des 400 enveloppes contenant la lettre mensuelle de 5 pages, un travail méticuleux facilité aujourd’hui par le courrier électronique.Derrière cette belle initiative, une petite équipe aussi discrète qu’efficace : ma mère, bien sûr, mais aussi ses cousines, la baronne Philippe van Zuylen et la comtesse Didier d’Aspremont Lynden. Ensemble, elles ont façonné l’âme de l’association.Début des années 80, Josyne van Zuylen, globe-trotter à l’esprit curieux, a donné un nouvel élan aux activités de l’asbl. Sous son impulsion, des voyages culturels, proches ou lointains, se sont multipliés, dans une ambiance conviviale et bienveillante. Depuis 2007, j’ai repris le flambeau, entourée de Marguerite De Cannière, de ma belle-sœur, Béatrice de Spirlet et toujours soutenu par mon cher époux.Philippe de Potesta : Quels sont les moteurs de l’engagement bénévole au sein de votre équipe ? Caroline d’Aspremont : Il s’agit de poursuivre cette belle aventure culturelle et sociale, toujours portée par cette atmosphère conviviale et bienveillante qui en fait sa richesse ! Cette démarche a récemment été couronnée par une reconnaissance qui nous touche profondément : la décision de Sa Majesté le Roi d’accorder à notre association le titre honorifique de « Royal ». Désormais, nous portons le nom de Royal Condroz Culturel asbl, une distinction symbolique, qui vient saluer cinq décennies d’engagement en faveur de la culture et la philanthropie. Ce titre ne constitue pas seulement une reconnaissance du chemin parcouru, mais aussi un encouragement à poursuivre la mission fondatrice de l’association.Ph de P : Quelles ont été les dernières activités marquantes du Condroz Culturel ?C d’A : Il est difficile de résumer 50 années de nombreuses activités riches et variées … En 2023, une magnifique croisière en Croatie, à bord d’un bateau entièrement privatisé pour l’association, a marqué les esprits.Octobre de la même année, un séjour culturel à Rome nous a emmenés sur les traces de Raphael. Le printemps 2024 a été l’occasion d’une semaine passionnante au Caire et ses environs, entre histoire millénaire et monde moderne. Février 2025, l’Asie avec une croisière inoubliable sur le Mékong. Et tout au long de ces mois, de nombreuses expositions ont enrichi notre programme, de la Georgie à Aleschinsky, Louise-Marie d’Orléans, première reine des Belges, en passant par bien d’autres escales artistiques.A l’occasion des 50 ans du Condroz Culturel, une pièce de théâtre, « Crusoé repart », amusante, fraîche et originale a été jouée à la Comédie Royale Claude Volter. La soirée s’est poursuivie par une réception chaleureuse, soigneusement orchestrée par Cap Event asbl.Ph de P : Quels sont les projets qui vous enthousiasment pour le futur ?C d’A : Comme d’habitude, plusieurs expositions viendront ponctuer la saison automnale. Fin novembre, une escapade en Rhénanie-Westphalie nous plongera dans la magie de l’Avent, entre châteaux, visite d’Aix-la-Chapelle et marché de Noël au Schloss Merode. Au printemps 2026, cap sur l’Egypte pour un voyage de Louxor à Assouan prolongé par une croisière sur le lac Nasser. Et à l’automne 2026 se profile déjà un voyage à la découverte de la Roumanie.Ph de P : En conclusion, quels sont les souhaits pour l’avenir de votre association ?C d’A : Ce que nous souhaitons aujourd’hui et demain, c’est rester fidèle à l’esprit insufflé par les fondatrices : l’enthousiasme face à l’inattendu, la joie de découvrir ensemble, la souplesse face à l’imprévu. Mais surtout une fidélité profonde de nos valeurs : la culture partagée, l’élégance de la pensée, le plaisir d’être ensemble tout en continuant d’avancer avec cœur !Ph de P : Merci infiniment à Caroline d’Aspremont pour ces précisions qui éclairent avec justesse les réalisations du Condroz Culturel.Philippe de Potesta

02/10/2025

Bourse d’Etude Avancée de Solidaritas : Témoignage d’Antoinette de Crombrugghe de Picquendaele.

Antoinette de Crombrugghe a obtenu une bourse de Solidaritas pour l’aider à financer un master d’un an en Climatologie à la prestigieuse Columbia Climate School aux Etats-Unis. Nous lui avons demandé d’évoquer son parcours et son choix.Pourriez-vous résumer votre parcours ? Et nous dire ce qui vous a incité à partir aux Etats-Unis l’année dernière pour y étudier la climatologie à Columbia ?J’ai passé une partie de mon adolescence au Chili, aux côtés de mes parents engagés dans le bénévolat au sein des bidonvilles de Santiago. J’ai été témoin des effets du réchauffement climatique, qu’il s’agisse du recul des glaciers ou de vastes incendies, et j’ai constaté combien ces phénomènes sont profondément liés aux enjeux de justice sociale.Revenue en Belgique, après ma scolarité à Saint-André à Bruxelles, j’ai obtenu en 2023 un Bachelor of Arts in liberal Arts and Sciences à l’Université de Maastricht.Après un stage chez Telos Impact, entreprise spécialisée dans la gestion et le conseil en investissement pour un monde plus durable et résilient, j’ai réalisé mon projet : poursuivre mon parcours académique à Columbia pendant un an.Pourquoi ce projet vous tenait-il tant à cœur ?Comme je l’évoquais, durant mon enfance au Chili, j’ai été confrontée aux effets directs du changement climatique et de son impact sur les communautés vulnérables en particulier.Mon intérêt - je dirais même ma passion - pour les crises du climat et ses enjeux politiques, économiques et sociétaux s’est renforcé au gré de lectures et de discussions toujours plus approfondies.Le programme suivi à Columbia m’aura permis d’acquérir des compétences recherchées et reconnues, mais aussi de bénéficier d’un réseau de poids, pour influer sur la scène et les politiques européennes. Qu’avez-vous appris sur vous-même au cours de cette année à Columbia ?J’ai appris à ne pas compter mes heures ! Car la charge de travail était énorme ! Mais quand on aime, on ne compte pas … Et puis à Columbia l’esprit de communauté « étudiants/enseignants » est une réalité qui s’est d’ailleurs renforcée depuis la dernière élection présidentielle.Quels conseils ou message avez-vous envie de donner aux jeunes de l’ANRB qui rêvent de se perfectionner à l’étranger ?Sur le plan pratique, une bonne planification est fondamentale. Il faut s’y prendre bien à l’avance, bien à temps pour préparer son parcours académique, son projet d’études.Plus votre CV sera cohérent, plus vous aurez des chances d’être accepté par l’institution que vous aurez sollicitée.Sur le plan financier, cela implique la préparation d’un budget : compte tenu du coût élevé des études de haut niveau à l’étranger, il est essentiel d’élaborer un plan financier bien détaillé et structuré.A cet égard, des bourses d’études des institutions hôtes, des pays hôtes et de fondations belges ou mixtes sont généralement disponibles. Une recherche bien complète des possibilités et des conditions d’éligibilité est indispensable. En Belgique, je pense par exemple à la Fondation Roi Baudouin, le fonds Sofina Boël, ou pour ce qui concerne les études aux Etats-Unis, la Belgian American Educational Foundation (BAEF) ou la Fulbright Commission.Mais l’essentiel, finalement, n’est-il pas d’oser poursuivre sa passion ?Nous remercions le baron Henry d'Anethan pour la rédaction de cet article.Solidaritas : Octroi de bourses pour des études avancées à l’étranger ou dans des institutions internationales en Belgique.Votre enfant a obtenu un premier diplôme et veut poursuivre ses études en Belgique ou à l’étranger ? Se spécialiser ? Obtenir un post-master ?Un doctorat ? Des difficultés à financer le projet ?Solidaritas peut accorder une bourse d’études pour contribuer à financer la poursuite de ses études supérieures.En effet, Solidaritas peut octroyer à des jeunes de la noblesse des bourses pour des études à l’étranger ou dans des institutions internationales établies en Belgique.Les études visées sont les spécialisations à l’étranger après un premier diplôme : master après master, doctorat (de préférence à l’étranger), écoles d’art (musique ou autres), stages et tutorats, préparation de concours, etc.Le plan de financement, ainsi que la preuve de son admission par l’institution visée, devront figurer dans le dossier du demandeur.Le rôle de Solidaritas est supplétif : l’étudiant communiquera à Solidaritas le plan de financement établi avec toutes les aides et bourses déjà obtenues ou garanties (bourses publiques ou privées, aide familiale, moyens propres ou autres).Les demandes de renseignements et de bourses sont traitées confidentiellement. solidaritas@anrb-vakb.be

30/09/2025

Un anniversaire d’envergure se prépare à Bruxelles : la cathédrale Saints- Michel-et-Gudule fêtera, en 2026, ses 800 ans d’existence ! Son doyen et sa Fabrique d’église s’activent.

Gaëtane Janssens de Bisthoven, présidente de la Fabrique, répond à nos questions.Contribuer à faire connaître ce magnifique édifice gothique est un objectif majeur. Pouvez-vous brièvement raconter son histoire ?Aux VIIIe et IXe siècles, il y avait déjà sur cette colline bruxelloise un oratoire consacré à l’archange St Michel. Au début du XIe siècle, le comte Lambert II de Louvain fit construire une église de style typiquement roman, consacrée elle-aussi à l’archange St Michel, le protecteur de la ville. Cette collégiale fut consacrée en 1047. Pour attirer les pèlerins, il fit transporter dans celle-ci les reliques de Sainte Gudule qui se trouvaient dans la chapelle de Saint Géry située dans la ville basse. Depuis lors, l’église fut officiellement dénommée la collégiale des Saints- Michel- et- Gudule.Ce n’est qu’en 1962 qu’elle fut érigée au rang de cathédrale aux côtés de la cathédrale Saint Rombaut de Malines.Sainte Gudule est une sainte très populaire à Bruxelles mais dont on ne sait pas grand-chose si ce n’est sa piété remarquable.Les forces vives de la cathédrale se sont réunies : quel est leur objectif ?A l’occasion du 800e anniversaire de la pose de la première pierre de l’édifice actuel, en 2026, le conseil de fabrique de la cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule, à l’initiative de ce projet, a constitué un groupe de travail, dénommé GUDULA26. Le projet a pour objectif de faire mieux connaître la cathédrale, ses trésors artistiques et la diversité des activités qui s’y déploient aux Belges et aux touristes étrangers.Le programme explore diverses dimensions. Lesquelles ?Gudula26 commencera par une messe pontificale présidée par l’archevêque de Malines-Bruxelles, Monseigneur Terlinden.Au programme aussi : un spectacle de son et lumière, des expositions, des conférences, des concerts, des visites guidées, des pièces de théâtre, des installations artistiques, etc… Ces activités variées ont pour but de mettre en valeur la cathédrale, la spiritualité et l’art qui l’habitent, de faire découvrir ou redécouvrir son histoire passionnante, de faire vivre au public des expériences artistiques uniques.Sur quel laps de temps s’étalera ce projet Gudula26 ?Concrètement, le programme de Gudula26, proposant des activités distinctes et complémentaires, s’étend sur toute l’année 2026. Mais, dès la deuxième semaine de décembre 2025, le spectacle de son et lumière LUMINESCENCE sera proposé.Des activités sont prévues pour tous les publics. Pouvez-vous les décrire ?Alors, je lève pour vous dès à présent le voile sur quelques aspects de ce programme !Le dimanche 11 janvier 2026, à 11h, se tiendra une messe pontificale avec l’envoi par le Pape d’un légat le représentant. Le Roi et la Reine ont également confirmé leur présence. Cette messe sera très probablement diffusée sur KTO.Le spectacle de son et lumière LUMINESCENCE prendra place dans la cathédrale du 11 décembre 2025 au 21 mars 2026, 4 ou 5 soirs par semaine avec 2 ou 3 représentations par soirée. Chaque représentation pourra accueillir 700 personnes. Nous proposons aux spectateurs une expérience artistique et immersive exceptionnelle, permettant à chacun de découvrir la richesse artistique de ce lieu emblématique.La musique a toujours occupé une place prépondérante dans la vie spirituelle et culturelle de la cathédrale. Ses murs résonnent non seulement de prières mais également de musique, en tant que vecteur d’émotion et de langage spirituel, ce qui nous rapproche tous . Il était donc évident pour nous d’inclure dans notre programme des concerts variés et surtout de qualité. Ceux-ci auront lieu durant les week-ends qui suivent la Sainte-Gudule (le 8 janvier 2026) et la Saint-Michel (le 29 septembre 2026) ; nous avons prévu un riche programme musical très varié : du classique, du baroque, des trompes de chasse, des chœurs d’enfants, etc…Sur le plan historique et artistique, tout autant qu’éducatif, des experts viendront nous parler des joyaux que recèle notre belle cathédrale. Ces conférences, gratuites, en français et/ou néerlandais, permettront au public d’enrichir ses connaissances sur le patrimoine artistique de la cathédrale, mais également d’en mesurer son importance sociale et historique.De plus, le lundi 19 janvier 2026, le cardinal-archevêque de Luxembourg, Monseigneur Jean-Claude Hollerich, viendra présenter au Bozar ses réflexions sur : « La cathédrale dans l’Eglise et le monde de ce temps ».Deux pièces de théâtre auront également lieu dans le chœur de la cathédrale : le dimanche 8 février 2026 « Sœur Emmanuelle, le ciel au cœur des poubelles » et le mardi 21 avril 2026 : « Les 5 C : Cardinal, Cancer, Covid, Clown et Coulisses ».Sera également édité un fascicule de visite guidée, conçu spécialement pour le jeune public et remis gratuitement à chaque enfant visitant la cathédrale.Cerise sur le gâteau, une nouvelle BD, dessinée par Baudouin de Ville et retraçant l’histoire de la cathédrale sera aussi éditée.Voilà bien un éventail passionnant qui se déploie sous nos yeux et qui nous entraînera à pérégriner avec intérêt, plaisir et enthousiasme dans ce haut lieu de Bruxelles !Nous remercions la comtesse Emmanuel de Ribaucourt pour cette interview.

28/08/2025

Willem van de Voorde, un diplomate courageux qui défend des intérêts à long terme dans un monde de plus en plus concurrentiel

Quel est votre parcours ?J'ai étudié le droit et la philosophie à l'UFSAL (Bruxelles), j'ai obtenu mon diplôme de droit à Louvain puis je suis parti à Londres (LSE) pour un Master of Laws. Mais je n'ai jamais travaillé comme avocat parce que je savais depuis des années que je voulais devenir diplomate. C'est ainsi que lors de mon service militaire en tant qu'officier de réserve à Cologne, j'ai préparé mon examen diplomatique.Après mon stage diplomatique, j'ai demandé à travailler pour mon premier poste dans notre ambassade auprès de l'UE à Bruxelles, car ma femme était encore en cours de spécialisation orthodontie. C'était une merveilleuse première introduction à la diplomatie ; je n'aurais jamais pu imaginer que j'y retournerai 30 ans plus tard. Puis je me suis retrouvé dans un monde complètement différent car j'ai été nommé secrétaire de la reine Paola pendant 6 ans, ce qui était également une expérience agréable et unique.En 2000, j'ai décroché mon premier poste à l'étranger, à Berlin. C'était une période incroyablement intéressante, car c'était la première année où la capitale allemande était transférée à Berlin. La ville était encore en construction et c'était un nouvel environnement pour tout le monde, pour les étrangers, mais aussi pour les Allemands qui venaient de Bonn et qui, comme nous, devaient s'y retrouver. Nous y sommes restés 4 ans. Ma femme, qui parlait allemand, pouvait aussi y travailler 2 jours par semaine, mais avec nos 4 jeunes enfants, elle avait les mains pleines.En 2004, je suis devenu chef de poste adjoint à Tokyo, un poste également intense et très satisfaisant.En 2008, je suis rentré à Bruxelles, au sein du département des affaires européennes, où, en tant qu'adjoint au directeur général, j'ai été très occupé à la préparation de notre présidence de l'UE en 2010. Par la suite, pendant un peu plus de 3 ans, j'ai rejoint les cabinets des ministres Steven Vanackere et Didier Reynders où j'ai coordonné leur politique européenne.En 2014, j'ai obtenu mon premier poste d'ambassadeur, à Vienne. C'était tout un défi, car c'est de cette ville que j'ai représenté notre pays en Autriche, mais aussi en Bosnie-Herzégovine, en Slovaquie, en Slovénie et auprès des institutions de l'ONU qui ont leur siège à Vienne. En 2018, j'ai déménagé à Berlin en tant qu'ambassadeur dans un pays vaste et très fascinant, que j'avais déjà appris à connaître. Au début de l'année 2020, un autre déménagement était imminent, celui du retour dans l'Union européenne, où je suis devenu le représentant permanent de la Belgique et y suis resté jusqu'en novembre de l'année dernière. Puis, comme le prévoit notre règlement d’ordre interne, le moment était venu de retourner à l'administration centrale à Bruxelles, où j'ai été nommé envoyé spécial pour le climat et l'environnement, afin de représenter la voix de la Belgique de manière horizontale dans les très nombreuses enceintes diplomatiques qui traitent du climat et de l'environnement.Quel est le rôle d'un diplomate dans un monde connecté ?Les fonctions diplomatiques sont très variées. D'une manière très générale, les diplomates gèrent et développent des relations avec d'autres pays. Nous sommes là pour promouvoir notre pays, notre gouvernement, nos entreprises, pour informer et pour aider si nécessaire nos compatriotes qui vivent ou voyagent à l'étranger.Dans le monde d'aujourd'hui, il est bien sûr devenu beaucoup plus facile qu'auparavant d'établir des contacts, mais le monde est aussi devenu plus grand et beaucoup plus compétitif. Dans de nombreux pays, la prospérité a énormément augmenté – heureusement ! - et leurs habitants revendiquent une place dans le commerce international et dans les organisations internationales. Alors que dans le passé, uniquement très peu de pays riches et occidentaux étaient aux commandes partout, il existe aujourd'hui une grande variété d'acteurs, dans tous les domaines : commerce, lutte contre la pollution de l'environnement et le réchauffement climatique, gestion de l'énergie, coopération internationale, éducation, extraction de matières premières, production alimentaire, biens de consommation, etc. : cela crée un environnement très concurrentiel, dans lequel les bons accords et la coopération étroite deviennent de plus en plus importants. Les choses tournent souvent mal, comme le montrent malheureusement divers conflits violents. Il faut donc beaucoup de personnel pour organiser une collaboration fluide et équitable, pour établir les bonnes règles et gérer cette gouvernance.Ces dernières années, des changements majeurs ont eu lieu, tels que l'accélération constante du réchauffement climatique, la transition vers des sources d'énergie plus durables, l'attention accrue portée à l'accès à l'énergie et aux matières premières ; tout cela se reflète sur la scène diplomatique et politique internationale, où les anciens rapports de force sont mis sous pression.Quelle est votre meilleure expérience professionnelle jusqu'à présent ? J'en ai eu beaucoup, mais je peux dire sans aucun doute que l'expérience la plus intense et la plus pertinente a été la présidence européenne en 2024. La Belgique était aux commandes de l'UE, à la fin de la législature où il y a toujours beaucoup de législation en attente d'approbation, avec les élections européennes qui ont dû être organisées, la guerre en cours en Ukraine, la crise énergétique. Toute l'équipe de la Représentation Permanente, ainsi que de nombreux autres membres de notre administration publique, ont fait un effort formidable à l'époque, et avec des résultats positifs. J'ai le sentiment que la Belgique a su apporter une vraie valeur ajoutée à la construction européenne.Comment êtes-vous devenu envoyé spécial pour le climat et l'environnement ?Dans le cadre de la rotation régulière des diplomates, c'était à mon tour de retourner à l'Administration centrale, rue des Carmélites, près du Sablon. J'ai eu l'opportunité de choisir ce poste et j'ai pensé qu'il s'agissait d'une problématique très actuelle et pertinente, qui implique également de nombreux processus internationaux de négociation et des dimensions diplomatiques. Le thème est également interpellant, car il réunit deux phénomènes contradictoires. Les effets du réchauffement climatique qui s'accélère, sont aujourd'hui clairs pour tout le monde et ont été scientifiquement prouvés. La Belgique compte de nombreux climatologues réputés, et l'un d'entre eux, le professeur Jean-Pascal van Ypersele, était vice-président de l’IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) de l'ONU. Mais en même temps, il y a, dans notre société, beaucoup de résistance à atténuer les effets ou à éliminer les raisons du réchauffement climatique – essentiellement la combustion de combustibles fossiles. Et c'est parce que cela nécessite un changement de comportement. Les coûts des investissements nécessaires pour la société dans son ensemble, pour les entreprises, pour les individus sont énormes et doivent être supportés maintenant, mais les effets ne viendront que plus tard. Le monde occidental a également une responsabilité historique vis-à-vis des pays les plus pauvres, mais ceux-ci devront également accepter que leur propre industrialisation, qui a succédé à la nôtre, devra se faire sur une base plus durable. Une période de transition est toujours difficile. Il est important de garder le cap et de communiquer clairement et régulièrement à ce sujet afin que notre action politique reçoive un soutien suffisant. J'essaie donc d'y contribuer.Le fait d'être membre de la noblesse est-il un avantage ou non ?En Belgique ou dans les cercles de l'UE, cela joue un rôle moindre. Certains le regardent même avec un certain scepticisme ou un œil critique. Mais à l'étranger, par exemple lors de mes séjours en Autriche, au Japon ou en Allemagne, j'ai souvent eu l'impression que cela était perçu comme quelque chose de positif, car cela montre une expression de la tradition et de l'excellence dans notre pays qui est appréciée dans l'environnement diplomatique et qui ouvre souvent des portes.Quel message aimeriez-vous transmettre à nos membres, plus particulièrement aux jeunes ?J'ai 3 messages :1. Le monde est très complexe et connecté, mais la diplomatie reste très pertinente, car la coexistence pacifique sur terre nécessite l'élaboration de règles. La lutte pour la paix au Moyen-Orient ou en Ukraine, l'organisation de la gestion conjointe des océans ou la conclusion d'accords pour lutter contre la pollution plastique n'en sont que quelques exemples récents. La Belgique a beaucoup d'expérience utile et d'expertise à offrir dans bon nombre de ces types de négociations et doit donc investir davantage d'attention et de ressources pour rester pleinement impliquée dans ce paysage hautement concurrentiel.2. La lutte contre le changement climatique et le réchauffement de la planète, la réduction de la pollution et la protection de la biodiversité doivent rester en tête de nos priorités. Selon l'ONU, il s'agit - à juste titre - d'un problème existentiel que nous ne pouvons aborder qu'ensemble. Cela nous aidera à long terme.3. Nous avons besoin de courage et de persévérance pour rendre notre monde meilleur. De temps en temps, je pense à une belle phrase que l'on attribue souvent à Guillaume d'Orange : « point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer ».Propos recueillis par Catherine de Dorlodot

28/08/2025

La journée de la Transmission 5/10/2025

ATTENTION: Clôture des inscriptions le 3 octobre à 9 hr.  Inscrivez-vous vite!!! Dans un monde en constante évolution, où les repères traditionnels se brouillent parfois, la transmission familiale demeure un pilier fondamental de la stabilité, de la continuité et de l'identité. C’est à cette richesse silencieuse que s’intéresse La journée de la Transmission, fruit d’une collaboration entre l’Association de la Noblesse du Royaume de Belgique (ANRB) et la Fédération Royale des Associations de Familles (FRAF). Au cœur de ce rendez-vous, quatre grandes thématiques émergent pour explorer les multiples visages de ce qui se transmet dans les familles, d’hier à demain.1. Les valeurs : un héritage immatériel et vivantAvant même les biens matériels, ce sont souvent les valeurs qui constituent le socle de l’héritage familial. Éducation, sens du devoir, responsabilité, ouverture aux autres, transmission de la foi ou d’engagements citoyens ; ces principes se forgent dans l’intimité du foyer et se perpétuent au fil des générations.Il ne s’agit pas uniquement de préserver des traditions, mais bien de cultiver une identité familiale partagée. Les récits de vie, les rituels transmis, les règles implicites qui régissent les relations... tous ces éléments façonnent la manière dont chaque membre s’inscrit dans une lignée, en dialogue permanent avec ses aïeux et ses descendants.2. Archives et mémoire : garder trace pour mieux transmettreLes familles qui prennent soin de leurs archives nourrissent leur mémoire et affirment leur présence dans le temps long. Correspondances anciennes, photographies usées, contrats de mariage, lettres patentes, enregistrements oraux ou encore films de famille constituent un trésor parfois insoupçonné.Aujourd’hui, de nombreux outils contemporains viennent enrichir cette mémoire : biographies familiales, podcasts familiaux, documentaires, livres-souvenirs... Ces initiatives permettent de sauvegarder l’histoire d’une famille ou de l’un de ses membres, et de les transmettre de façon vivante. Car se souvenir, ce n’est pas figer le passé : c’est offrir aux générations futures la possibilité de mieux comprendre d’où elles viennent pour mieux choisir où elles vont.3. Planification successorale et médiation : anticiper pour apaiserSi la transmission matérielle peut être source de liens, elle peut aussi, mal préparée, générer tensions ou conflits. C’est pourquoi la planification successorale prend une importance croissante. En s’entourant de professionnels compétents, les familles peuvent organiser le partage des biens mobiliers ou immobiliers, anticiper les enjeux fiscaux, mettre en place un mandat de protection extrajudiciaire, ou encore planifier la transmission d’une entreprise familiale.Au-delà des aspects juridiques, il est essentiel de laisser la place au dialogue familial, parfois facilité par des médiateurs. Une transmission réussie est celle qui a été préparée, réfléchie, et surtout discutée : elle prend en compte les souhaits du donateur, mais aussi les réalités et attentes des héritiers.4. Patrimoines culturels et matériels : conserver et faire vivreLes demeures historiques, les terres familiales, les portraits anciens, les objets d’art, les bibliothèques ou même certain type d’entreprises constituent autant de patrimoines tangibles, témoins d’une histoire singulière. Leur conservation et leur transmission exigent une vigilance constante : entre restaurations nécessaires, coûts d’entretien et adaptations aux normes actuelles, les défis sont nombreux.Ces biens racontent pourtant bien plus qu’une potentielle valeur marchande. Ils incarnent une mémoire vivante, un lien entre générations et une responsabilité collective. Préserver un tableau de famille ou gérer un domaine agricole transmis depuis des siècles, c’est perpétuer un dialogue entre passé et avenir, tout simplement.Un rendez-vous pour penser la transmission dans toutes ses dimensionsLa journée de la Transmission, qui se déroulera dans les salons de l’ANRB le 5 octobre prochain, souhaite offrir un espace de rencontre, de réflexion et de solutions concrètes. Il rassemblera experts, juristes, notaires, médiateurs, historiens des familles, archivistes, artisans de la mémoire, antiquaires, psychogénéalogistes, passionnés de patrimoine et représentants de nos associations « sœurs » (Association des Demeures Historiques et Jardins, OGHB, etc.), tous unis par une même ambition : aider les familles à préserver ce qui compte, transmettre ce qui dure.Dans un monde parfois trop pressé, où tout semble devoir être réinventé sans cesse, prendre le temps de réfléchir à la transmission familiale, c’est faire œuvre de sagesse. C’est reconnaître que certaines richesses ne s’évaluent pas en euros ou en mètres carrés, mais en souvenirs, en valeurs, en liens.Un catalogue rassemblant un maximum de coordonnées d’experts, d’amateurs chevronnés et d’autres professionnels sera conçu afin de constituer une véritable « bible » des intervenants de la transmission.Consulter le programme : https://bit.ly/programme-transmissionS'inscrire : https://membernet.anrb-vakb.be/fr/tous-evenements/journee-transmission/Nous remercions le comte Pierre-Alexandre de Lannoy pour la rédaction de cet article.

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Événements

04/10/2025
Visites et muséesRéservé aux membres

Visite du musée Banksy pour les 8-15 ans

Le Petit Pablo est de retour…Pour la deuxième année, les enfants emmènent leurs grands-parents au musée ! Cap sur la première activité : l’univers fascinant de Banksy, le street artiste le plus secret de notre époque. Le Musée Banksy réussit un tour de force unique en son genre en recréant les œuvres murales que le street artiste Banksy a peintes incognito dans le monde entier. En plein cœur de Bruxelles, dans une ancienne maison de tissus, ce sont 1000 m2 de fresques, dessins et projections qui t’attendent. L'exposition rend une nouvelle vie aux créations urbaines souvent engagées de Banksy, d'autant plus appréciables que nombre d'entre elles ont disparu. Après une visite guidée du musée, workshop avec des pochoirs et de la peinture aérosol (uniquement pour les jeunes) à la manière de Banksy pdt 45 min.

05/10/2025
Journée de la TransmissionÉvénement public

Journée de la Transmission

ATTENTION: Clôture des inscriptions le3 octobre à 9 hr.  Inscrivez-vous vite!!! L’ANRB et la FRAF ont le plaisir de vous inviter à la Journée de la Transmission qui se tiendra le dimanche 5 octobre à partir de 10 h 30 dans les salons de l'ANRB. Au programme : des mini-conférences et des ateliers interactifs autour de quatre thématiques clés — valeurs et traditions familiales ; archives, généalogie et histoires familiales ; planification successorale ; gestion et préservation du patrimoine. Cette journée sera l’occasion idéale de rencontrer des experts, d’échanger des expériences et de mieux comprendre les enjeux fondamentaux liés à la transmission au sein des familles.

06/10/2025
Bruxelles
Conférences de la parentalitéRéservé aux membres

Alexandre Heeren “L’éco-anxiété chez les jeunes : source de souffrance ou moteur pour la transition ?”

Alexandre Heeren est professeur de psychologie et Chercheur qualifié FNRS attaché à l'UCLouvain où il dirige le Stress and Anxiety Research Lab. Ses recherches portent sur la compréhension des mécanismes sous-tendant lanxiété, le stress et la résilience, et plus récemment sur la question des liens entre santé mentale et transition, dont les enjeux posés par l’éco-anxiété. Il est lauteur de nombreuses publications scientifiques et a reçu de nombreux prix et récompenses pour ses activités de recherche, dont le prix international « STAR Early Career » (en 2021) pour sa contribution exceptionnelle à l’étude scientifique du stress, de lanxiété et de la résilience. 

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Le grand hall

Le grand hall est au centre de toute l’action. Il est orné d’une belle cheminée Renaissance, de tapisseries d’Aubusson et de lustres Louis XV imitant ceux de la bibliothèque Mazarine. Un très bel escalier d’honneur permet de monter à l’étage. C’est dans ce lieu magique que les moments les plus marquants de l'association ont pris naissance, créant des moments inoubliables pour certains de nos membres.

Le salon des jeunes

Le salon des JNB est une salle polyvalente. Cet espace cosy et festif est mis à disposition pour vos fêtes ou vos moments « lounge ».

Les salles de réunion

En tant que membre, vous pouvez privatiser nos salles de réunion, et même l'ensemble du bâtiment pour des célébrations plus importantes. Caroline Siraut et son équipe vous aidera à transformer les moindres détails en une expérience vraiment inoubliable.

La salle à manger

Attenant au grand hall principal, la salle à manger est un bel espace de près de 70 m². Les lambris aux murs lui donnent un caractère unique. Une seconde porte très discrète permet l’accès au traiteur de pouvoir servir l’ensemble des invités sans gêner la circulation de vos convives.

Le salon chinois

Le salon Louis XV aux panneaux de style chinois est situé au rez-de-chaussée et donne sur la terrasse de la maison. Il est agrémenté d’un parquet incrusté d’acajou.

Le salon bibliothèque

Le salon bibliothèque, situé à gauche de l'entrée, est un espace intime et raffiné. La pièce est ornée de boiseries et d’étagères de livres, invitant à la détente ou à la conversation. Une seconde porte, discrète, permet de rejoindre le grand hall, renforçant la fluidité et la circulation au rez-de-chaussée.Le salon bibliothèque se prête parfaitement à des dîners en petit comité, où l'on peut partager un moment convivial dans une ambiance feutrée et accueillante.

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